Parmi les intervenants, le Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG) de Côte d'Ivoire, Epiphane Zoro Bi Ballo, a partagé son expertise et réaffirmé l'engagement de son institution en faveur d'une gestion transparente des finances publiques.

Une table ronde d'experts africains

Aux côtés de Caroline Gaita (Kenya), Lucy Akego (Ouganda) et Alvin Musioma (Fondation Open Society), Zoro Bi Ballo a participé à des discussions stratégiques autour de plusieurs enjeux majeurs : 1-La transparence de la dette et son impact sur les économies africaines : Une nécessité pour assurer la confiance des investisseurs et des citoyens.

« Lutter contre la corruption et garantir une gestion saine des finances publiques sont des défis majeurs pour le développement durable de notre continent », a souligné Epiphane Zoro Bi Ballo. 

2-La déclaration de patrimoine : Un outil essentiel pour responsabiliser les dirigeants et prévenir les conflits d'intérêts. 3-Le rôle de la société civile : Un levier indispensable pour promouvoir la transparence et dénoncer les dérives. 4-Les réformes institutionnelles : Un impératif pour renforcer l'efficacité des structures de contrôle et de sanction.

Un défi constat pour le développement de l'Afrique

« Lutter contre la corruption et garantir une gestion saine des finances publiques sont des défis majeurs pour le développement durable de notre continent », a souligné Epiphane Zoro Bi Ballo. Le magistrat de formation a pris le soin de d’insister la nécessité d'une collaboration étroite entre les gouvernements, la société civile et les institutions financières internationales pour mettre en place des mécanismes de contrôle plus efficaces.

La participation du Président de la HABG à ce panel s'inscrit dans la continuité des efforts menés en Côte d'Ivoire pour renforcer la transparence et l'intégrité dans la gestion publique. « Nous devons démontrer par des actions concrètes que la bonne gouvernance est non seulement un engagement, mais une réalité », a-t-il ajouté. Ce panel a ainsi permis d'échanger sur les meilleures pratiques et d'encourager des initiatives communes pour une Afrique plus transparente et prospère.