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La maison d'un pasteur s'écroule : son fils de 2 ans tué, son épouse grièvement blessée
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7 May

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La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison.
Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
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cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
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cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
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informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
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cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
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KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
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KIKIE Ahou Nazaire
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informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
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La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
informée, a procédé à un constat d'usage, avant d'ouvrir une enquête, à l'effet de
cerner les contours de ce drame. En attendant, le pasteur et le reste de sa famille, se retrouvent dans un état de sans-abri. Un soutien des fidèles et sûrement attendu, si cela n'est déjà fait.
KIKIE Ahou Nazaire
La peine est profonde pour Allangba Richard, pasteur à l'église Foursquare de Guéyo. Son fils a péri et son épouse grièvement blessée dans l'écroulement d'une partie de leur maison. Le drame est survenu dans l'après-midi du vendredi 4 mai 2012. A en croire les informations qui nous sont parvenues, cette après-midi là, une grosse averse s'abat sur la ville de Guéyo. A l'image d'ailleurs, de plusieurs autres localités de la Côte d'Ivoire. Impossible à Guéyo, de mettre le nez dehors. Et à force de se tourner les pouces, l'homme de Dieu et les siens sont pris de sommeil. Alors, le pasteur, son épouse, leur fillette et leur petit garçon de 2 ans, répondant au prénom de Christ Ézéchiel vont tous se coucher dans la chambre principale. La pluie gagne en intensité et dans ces conditions, en général, le sommeil est rapide et profond. C'est bien le cas pour le guide religieux et sa petite famille. On en est là quand soudain, un des murs de la chambre cède sous la tornade et vient s'écrouler sur la pauvre famille endormie. Si par miracle, le pasteur et sa fille n'ont rien, ce n'est pas le cas pour sa femme et leur petit garçon. L'épouse, en plus d'autres blessures non moins importantes, a la cheville droite fracturée. Elle ne peut marcher. Mais le cas du garçonnet est beaucoup plus préoccupant. Grièvement blessé, il reste inanimé. Le pasteur Allangba défie le temps de chien et dans des conditions extrêmement difficiles, évacue à l'hôpital de la ville, les deux membres blessés de sa famille. Mais sur place, les praticiens qui les reçoivent, conseillent plutôt de les transférer de toute urgence, à l'hôpital général de Soubré qui lui, est doté d'un matériel pour faire de la radiographie. Il faut parer au plus pressé. Seulement voilà, l'hôpital de Guéyo ne dispose d'aucune ambulance. Le seul moyen de transport sur place, est un corbillard venant de déposer un corps dans une localité environnante. Le pasteur a-t-il le choix devant la grande souffrance des siens? Que non. Par ailleurs, il y a lieu de s'interroger si la présence de ce corbillard comme seul moyen de transport, n'était pas un signe prémonitoire. En tout cas, la suite invite à penser cela. De fait, alors que le véhicule 1?0rtuaire n'a même pas encore gagné la sortie de la ville, le pauvre petit Christ Ezéchiel pousse son dernier soupir. Sa mère, malgré ses graves blessures, est déchirée par la douleur. Tout comme son père. Le corbillard est alors obligé d'écourter son voyage en direction de Soubré et de faire demi tour. A la nuit tombée, après les formalités administratives, le môme est inhumé. Mais avant, la gendarmerie
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